Avertissement
Toute ressemblance avec des éléments existants ou ayant existé serait purement fortuite (ou pas).
Le texte qui va suivre pourra contenir des scènes de sexe, de violence verbale et physique, d'incitation aux drogues légales... ou pas.
Lecteur... vous l'êtes donc a vos seuls risques
La mélancolie du Papillon
oeuf
I
Comme chaque soir, au milieu de la nuit, des silhouettes se répandent dans les grandes artères de la ville aux alentours de 2h de la matinée. Passablement alcoolisées et avançant avec peine, Vincent suivit le troupeau et chercha à retourner par chez lui.
Rasant les murs, dont le contact le rassurait quant il atteignait cet état d’hébétude, il avançait péniblement et perdit plusieurs fois son chemin tant le faible éclairage ne l’aidait pas a retrouver son logis. Enfin, il arriva au bas de son immeuble, et rassuré s’assit sur les marches de pierre froide.
Comme a son habitude, il sortit un vieux paquet défoncé de Malboro d’une de ses poches revolver, et entrepris d’en fumer une histoire que le sol tangue un peu moins quand il pénétrerait dans le hall. Il savoura le cocktail qu’offrait cet instant, mélange rare entre la fraicheur douce de la pierre, l’ivresse, la beauté de la nuit et la lueur rassurante de la cigarette, puis, le fragile équilibre rompu avec la fin de cette dernière, il rentra s’enchainer les quatre étages de marches.
Sa clé crissa dans la serrure, et il pénétra rapidement dans son chez soi, légèrement haletant. L’autre occupant de la chambre ne broncha pas quand il passa se purger dans les cabinets, afin d’éviter un coma éthylique pendant la nuit, ni quand après s’être changé, il se vautra sur son vieux matelas a ressort par manque d’attention.
Abrutis d’alcool et groggy de fatigue, il se laissa partir dans un sommeil sans rêves.
Pas de musique avec (rien trouvé qui colle), ni de vidéo pour cette fois.
Bonne lecture, et sans doute a lundi pour une note plus habituelle (feignasse et nawak quoi)
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