31/07/2008

Chapter eighteen

Un chapitre cours ce soir
pour changer, on commence par de la musique

Découvrez Children of Bodom!


Ensuite, on fait un peu de pub au dernier ajouté: Noxx. Il dessine extrêmement bien, donc j'espère pouvoir mettre un jour un dessin de lui en illustration

Enfin, le texte a proprement parler


XVIII

Une confrontation entre le chef du groupe autochtone et Guillaume avait éclaté. L’homme, d’une quarantaine d’année, s’était montré dés le début hostile à tout mélange des deux clans, et Guillaume se serait retrouvé à la porte si l’homme, par une de ses pointes de mépris, ne l’avait pas foutu en colère. Il l’avait alors mis dos a un mur, et, l’étranglant de son avant bras, lui avait ordonné de se plier aux ordres sous peine de représailles. A ce qu’il savait, l’extérieur était peuplé d’êtres tribaux extrêmement violent et affamés.
La passation de pouvoirs se passa sans encombres majeurs suite a cette mise aux points. Nouvellement intronisé, Guillaume répartis les taches, comme a l’accoutumée. La centaine de bras ne fut pas de trop pour clôturer quasi hermétiquement l’enceinte du lycée, sécuriser le gymnase (ou se trouvait les douches) et le foyer (dépendant des cuisines) afin d’obtenir un minimum de confort, et barricader les portes indéfendables. Puis, alors qu’il commençait à disposer les nouveaux venus en binômes, un nouveau problème se présenta.

L’ancien chef, appuyé par Olivier et François, refusa son affectation et le tour de garde qui allait de avec. Alors qu’il s’apprêtait à mettre les choses aux clair, il se rendit compte que Olivier et son compère avait rejoint celui-ci, et que la révolte qu’il avait craint allait exploser au grand jour. Excédé par la conduite de ceux qu’il avait logés, en particulier d’Olivier, il lui colla une balle dans le genou avant qu’il n’eu réagis, et, a la stupeur générale, fit enfermer les trois larrons dans un placard à balais, le temps de monter un procès.

30/07/2008

Acte deux

Hum, désolés de mon absence, mais j'avais quelques occupations qui prenaient du temps hors de devant mon PC. Enfin, je suppose que la majorité d'entre vous connaissent ce genre de choses.
Fêtons comme il se doit le 100 eme visiteur de ce blog, de même que mon début d'influence à l'étranger (bonjour à mon visiteur Marocain si il passe encore)

Enfin, bref, on remet ca avec le début de l'acte II, le chapitre 17


XVII

Un vent sec et chaud soufflait. Sans nul doute un désert, mais à savoir lequel… Il était habillé d’une tenue assez simple, couleur sable, qui pouvait s’apparenter a une tenue berbère ou arabe, et avait en face de lui une masse noire et informe de deux fois sa hauteur. Une lance en main, il s’élança vers cette chose.
Il se réveilla mal à l’aise et en sueur, comme si les mouvements de son rêve s’étaient répercutés à son corps. L’horloge de la salle de classe ou il dormait, au deuxième étage, indiquait de ses barres digitales 6h20. Ensuqué, mais certain que sa nuit complète venait de s’écrouler, il sortit de la pièce pour marcher.
L’endroit était suffisamment vaste pour que, au moment où le groupe avait fait irruption dans le parking du lycée, ils aient trouvé plusieurs survivants occupés à rassembler du bois et divers autres matériaux afin de se prémunir aux accès de l’hiver. Etant donné que les autochtones n’avaient pas d’armes à feu conventionnelles pour se défendre, ils s’étaient imposés dans trop de difficultés comme les leaders de cette communauté, qui regroupait une cinquantaine de personnes disparates. Guillaume avait alors fait le tour des faiblesses du bâtiment, qu’il avait déjà évalué du temps ou il servait en ses murs, puis s’était arrangé pour mettre ici aussi un système de ronde.

Lorsque le soleil se leva par delà la baie vitrée ouest, il était assit sur un banc, et songeait enfin au camarade qu’ils avaient été obligés de laisser derrière eux. Alors enfin, tandis que chaque garde de fortune était à son poste et que le reste de la troupe dormait, il laissa remonter tout les sentiments qui lui pesaient sur le cœur depuis quelques jours. A la fatigue succéda la colère, contre ce monde débile, les réactions idiotes de l’homme et ses propres faiblesses, puis celle-ci fut remplacée par une indicible tristesse. Il se rendait enfin compte que tout ce tumulte lui avait enlevé sa famille, certain de ses meilleurs amis comme Eude, et son avenir, qui dorénavant n’était plus que sangs, larmes et violences…




Découvrez Klaus Nomi!

26/07/2008

Note du Wikende

Bon, en ce moment je profite de la fin de l'écriture de l'acte 2 (oui, c'est en différé. Vous avez la chance d'avoir des alpha lecteurs avant vous, histoire de trouver les fautes ou les trucs trop moches) pour souffler un peu.
Donc pas de zombis ce week end, mais un truc pas mal différent, plus tout jeune, mais qui a l'air de plaire aux gents qui l'ont lu


Bataille

De chaque cotés, deux armées entières

Parés à charger, la haine sur la lame

L’une est loyaliste, l’autre est régulière

Et pourtant toutes deux se battent pour leurs âmes


Nous sommes l’armée des hommes, de farouches guerriers

Révoltés pour le bien de toute l’humanité

Notre ennemi n’est pas homme, encore moins animal

Nous l’avons forgé dans le dur métal


Les généraux s’avancent, à gauche les hommes s’inclinent

Mais nulle réaction de la part des machines

Pénultième palabre avant l’heure de la mort

Comme si quelques paroles changeraient notre sort


L’hallali est sonné. De partout c’est la charge

Je suis le capitaine d’une escouade de fortune

Mes fiers soldats se meuvent, gris sous le clair de lune

Mais cependant aucun n’a le cœur à l’ouvrage


Sabre en main, arme au flanc, je tente la harangue

Soudains les androïdes nous prennent à revers

Cruel jeu du sort ! Nous somme pris dans une gangue :

Il ne nous reste plus qu’à charger lame au clair


Je vois tout mes amis s’écrouler un a un

Et je vois mon aimée abattue par derrière

Une folie me prend, je charge seul contre vingt

Et j’en dessoude trois avant d’être mis à terre


Je reprends connaissance, l’aube se lève enfin

La plaine est noire de sang, et partout des blessés

Appellent suppliant, priant d’être achevés,

Atrocement mutilés, voilà pour eux la fin


Je pars pantelant chercher mes frères d’arme

L’âge d’or touche à sa fin, tout vas de mal en pis

L’heure est venue pour moi de remiser ma lame

Et de partir au loin : Ragnarok est finit




Découvrez Boney M.!

25/07/2008

Un petit article qui pourrait gonfler mes stats






Un petit lien vers la boite qui fait ca: booster blog
En espérant que je repasse a plus de deux visites/jours

24/07/2008

zissiz zi ende

Ne pleurez pas mes amis. C'est juste la fin de l'acte 1. L'acte deux à partir de lundi
Bonne lecture

Découvrez ZZ Top!



XVI


Le groupe rentra à toute vitesse dans la maison. Déjà, certains comme Arthur s’époumonaient que le pire était à venir, et que les ennemis ne feraient qu’une bouchée d’eux si ils avaient une organisation sociale, vu leur nombre potentiel.
Guillaume ne dit rien a ce sujet, même si il était sur au fond de lui que ces prévisions étaient optimistes, et engueula copieusement Olivier pour son comportement irresponsable qui aurait pu tous les tuer. Il n’avoua cependant pas qu’il en aurait fait de même si sa lâcheté ne l’avait pas emportée sur son courage.
Le groupe décida a une quasi unanimité que Olivier aurais des sanctions pour son acte, et se prépara a la défensive. Ce fut alors qu’Eude s’effondra littéralement sur ses jambes, révélant qu’une tache pourpre s’étalait à la pliure de son bras.

Inquiet sur le sort de leur compagnon, le petit groupe le porta à la chambre la plus proche, où il fut examiné par Arthur. Il révéla qu’Eudes avait visiblement été griffé ou blessé par un des « non morts » durant l’altercation, et son état ne laissait présager rien de bon, les chairs se nécrosant aux alentours de la plaie.
Au cours de la soirée, tandis que l’état du patient se dégradait d’heure en heure, un plan de défense était mis en place. Vers 19h, alors que chacun était a sa place, Delphine vint prévenir Guillaume que le malade le demandait. Celui-ci, réaliste sur le sort qui l’attendait, ne demandait qu’une chose : une arme, et un poste de garde a proximité de l’entrée, d’où il pourrait déclencher divers pièges tout en ayant les agresseurs à portée de tir en cas d’attaque.

Deux éclaireurs furent repoussés par les personnes de l’entrée durant le temps que dura l’entretient. Conscient du fait que la maison était condamnée à très cour terme, Guillaume céda aux ultimes demandes de celui ci, et lui disposa un siège dans l’entrée, non loin d’un amoncellement de chiffons imbibés d’alcool qui se recoupait au niveau d’une bombonne de gaz, les autres ayant été ouvertes dans diverses pièces de la maison dont les portes avaient été aspergés d’essence. Le reste du groupe, entassé tant bien que mal dans les trois voitures chargées de vivres et des trouvailles offensives, prévint Eude qu’ils se dirigeaient vers le lycée de secteur au cas où il survivrait, et lui fit jurer de se supprimer si problème. Tandis que le soleil commençait à tomber, l’ultime défenseur fit un signe de sa main déjà en cours de décomposition vers ses amis.

23/07/2008

Zzzzzombie!

Et le chapitre 15: la suite de celui de ce matin. Plus qu'un chapitre avant la chute de l'acte 1.
Rien de nouveau sous le soleil, à part un petit fanart toujours de alab.

Bonne lecture

Découvrez Angelo Badalamenti!



XV


A la réflexion, c’était un bien bel euphémisme que d’affirmer les attentions hostiles du nouveau groupe. Sans cesser de se demander qui ils étaient, Guillaume ordonna le repli généralisé du groupe dans la maison, et la levée des herses. Certes, cela pouvait sembler disproportionné pour un groupe d’à peine une dizaine de personnes, mais il valait mieux prévenir que guérir, comme le répétait son père. Il ordonna aux personnes les plus faibles de se replier dans les étages supérieurs, tandis qu’une section restreinte s’occuperait de maintenir les nouveaux venus à distance respectable s’ils les attaquaient.

Les minutes passaient, et le groupe ennemi n’avait toujours pas lancé l’assaut. Ils étaient, semble t’il, intéressés par la viande d’un chien qui les avait attaqué. Depuis son poste d’observation, Guillaume les vit dans leurs vêtements déchirés, arracher consciencieusement la tète du chien, puis aspirer la moelle de ses os. Ils affirmaient ainsi que, même si leur forme était encore humaine, leurs préoccupations relevaient du tribalisme le plus affolant, et qu’ils n’hésiteraient pas à abattre de jeunes personnes innocentes pour se sustenter.

Olivier sortit alors, munis d’un fusil et d’un katana, tandis qu’Arthur et Delphine l’apostrophaient sur sa témérité. Il épaula et tira dans le dos de celui des non morts qui lui semblait être le chef. Le bruit mat qui en résultat ne fit qu’attiser les craintes du groupe. Les quatre ressuscités se tournèrent alors vers lui, et, sans un mot, le chargèrent. Paralysé par la terreur, ce fut deus ex machina qu’il en réchappa. Eudes l’avais en effet saisit au collet, et tandis que celui-ci était ramené manu militari dans la maison, Guillaume et Tanguy affirmaient toute leur dextérité au lancer de Molotov. Ils firent ainsi tomber trois des assaillants avant de retourner à l’intérieur. L’ultime survivant décampa à toute jambe tandis qu’une odeur de barbecue et une plainte suraiguë s’élevait des cadavres enflammés.

Quatorzième variation

Chapitre 14 today. Bonne lecture je dirais



XIV


L’autoradio diffusait une des compilations de musique MP3 de Tanguy quand le groupe arriva aux portes de la zone sécurisée. Là, armés des haches restantes, et visiblement assez en colère, le groupe s’apprêtait à faire passer un sale quart d’heure au corps expéditionnaire. Cependant, à la vue des armes, une grande partie de la tension se dissipa.

Guillaume convoqua d’emblée une réunion dans le salon. Les mines tirées de la majorité, et irritées de certains, laissaient présager une discussion houleuse. Afin de l’étouffer dans l’œuf, il mit les pieds dans le plat franco.

- Je sais qu’il y en a certains ici qui remettent en cause mon commandement. Sachez que je ne vise personne, cependant les coupables se reconnaîtront. Sachez aussi que je n’aurais aucun scrupule à leur tirer une balle dans le genou pour leur apprendre la politesse si besoin est.
Pour ce qui est du butin, je vais laisser le soin de vous en faire l’inventaire à celui que j’ai nommé économe, à savoir Tanguy.

Transférant ainsi des responsabilités envahissantes, il commença à planifier une activité entrainement dés la fin de la réunion, ainsi qu’un entrainement aux armes blanches pour tout le monde. Pour ce faire, il partit vérifier que le jardin du voisin avait été déserté, et que sa maison était vide. Celui-ci possédait en effet quelques beaux arbres qui pouvaient servir très avantageusement de sac de tir ou de frappe.

S’auto proclamant encore une fois maitre en la matière, il commença par distribuer des katanas à onze des treize autres, les deux personnes restantes étant affiliés à monter la garde. La leçon fut instructive pour l’immense majorité du groupe : certaines filles, surtout, gênées par la maniabilité plus que délicate des haches, s’avéraient assez à l’aise au katana. De plus, les fusils furent étrennés par beaucoup pour la première fois. Alors que Guillaume s’apprêtait à annoncer une nouvelle répartition des taches selon les points forts de chacun, François, de garde, l’informa qu’un petit groupe était en approche, et qu’à première vue, leurs intentions n’étaient absolument pas pacifistes.


Et comme d'habitude, une musique( toutes les musiques postées font parties des playlist que j'écoute en "travaillant")

Découvrez Various!

22/07/2008

Chapitre 13

Suite de la saga. On continue sur le chemin entamé depuis une dizaine de jours.
Un fanart sera posté dans deux chapitres. D'ici là, toujours de la musique (toutes les musiques mises a disposition sont aussi sur mon ordinateur, et ce sont elle sur lesquels j'écrit)


Découvrez Johann Pachelbel!


XIII

Le réveil fut sinistre. Un grésil infâme couvrait la ville d’une chape de plomb. Au loin, des fumerolles s’élevaient encore de Rennes, qui avait été partiellement incendié au moment des évènements.
Conscient du fait qu’une scission en deux groupes était sur le point d’apparaitre, Guillaume força au réveil ses plus fidèles compagnons, à savoir Tanguy, Eudes et Delphine. Il était à peine 6 heures trente, et le soleil n’était toujours pas levé, cependant il sentait qu’il y avait un gros coup à jouer. Il mena donc son petit groupe hors des murs, au moment de la relève de la garde, et les dirigea vers les hautes tours de la ville.
Afin de rompre le silence, et de mettre un soupçon de vie dans la voiture, il demanda à la personne assise à la place du mort de lancer la radio. Cependant, la neige ou la tonalité sur toutes les stations connues achevèrent de plomber l’ambiance.

Ce fut dans une sinistrose avancée que le groupe arriva dans Rennes. Il les pilota alors vers une petite armurerie à proximité du TNB, qui, relativement épargnée, contenait encore des fusils, quelques katanas, des balles et des armes de points. Tandis que Eudes et Tanguy faisaient le guet de chaque coté de l’entrée, Delphine et lui faisaient la navette entre l’intérieur et le coffre de la Clio, tentant d’y faire rentrer le plus d’armes possibles.
Une ombre fugace, à l’angle de la rue, leur fit presser le pas. Ne sachant rien de leurs ennemis, tous préférèrent fuir plutôt que d’affronter quelque chose qu’ils ne connaissaient pas, et qui donc était potentiellement dangereux. Armés donc de huit fusils de chasse standards, de deux Beretta, d’une quinzaine de katanas de coupe et du Flash Ball que Guillaume avait trouvé la veille, le groupe s’empressa de retourner au foyer.

21/07/2008

écologie mon amie: chapitre 12

Encore un chapitre nocturne aujourd'hui. Je dois avouer que ce sont vraiment mes préférés. Peut être a cause du fait que j'écris pendant la nuit, ou alors pour l'ambiance qui s'en dégage, avec son silence et son calme.
Pour répondre a des questions qui ne me sont pas posés (j'ai seulement une dizaine de lecteurs, dont un petit nouveau venant de l'est de la France. Youpi!), beaucoup d'éléments sont "réels". Comprenez par la que je m'inspire de lieux, de personnes et de faits que je connais. Et tant pis si ça n'est pas suffisamment palpitant (tybbau, dont le blog a été ajouté hier au soir, se reconnaitra)


XII

C’était l’Italie. Du moins les paysages le laissaient supposer. Il avançait dans une sorte de centre commercial, étrangement construit. Des formes passaient à sa droite et à sa gauche, cependant, elles ne semblaient pas le voir, et se diriger vers un lieu distinct. Désireux de savoir où, il s’approcha du comptoir qui faisait une promo sur la viande hachée de baleine

Eude lui flanqua une claque sans ménagement. A l’heure de relève dépassée de cinq minutes, et aux cernes sous les yeux de ce dernier, il conclut qu’il était temps de descendre prendre son tour. Sa collègue l’attendait déjà en bas, assise dans son siège, et visiblement déjà prête à repartir dans ses rêves. Souhaitant avant tout être seul, afin de pouvoir réfléchir calmement à la situation globale, il l’envoya s’allonger sur un des canapés du salon, pendant qu’il faisait sa ronde. Après un temps plutôt cours à envisager les diverses possibilités, il conclut qu’il ne pouvait convenablement émettre un jugement sans connaitre l’état du monde.

Il alluma à pas de loup la télévision du living, et la calla sur BFM TV, tout en gardant le son extrêmement bas. Les images des restes du monde civilisé d’hier n’étaient absolument pas rassurantes. Tas de ruine fumante dans certaines villes comme Atlanta, soumise au pillage des survivante, qui se ruaient sur les objets de valeur ; tas de chair putréfié pour d’autres villes comme Milan, Lyon ou Moscou. Abasourdis par les images de mort, il conclut que le mieux qu’il avait à faire était de veiller sur ses hommes, et de lancer des appels aux survivants, afin de les regrouper dans des lieux sur, où, peut être, l’espèce humaine aurait des chances de prospérer a nouveau.
Retournant à son poste, il fit une halte au chevet de sa coéquipière, moins de deux mètres plus loin. Ignorant le bruit, sans doute abrutie par la fatigue et l’heure, elle s’était paisiblement endormie sur le canapé en cuir noir du salon, et dormait la bouche ouverte, sans aucun doute dans un monde meilleur. Emu par l’ingénuité d’un tel spectacle, il disposa une couverture sur son jeune corps, et dégagea ses cheveux blonds qui tombaient dans ses lèvres entrouvertes. Las, et harassé par sa journée, il s’allongea sur un des tapis du salon, sa hache tout de même toujours a proximité, et se laissa aller au farniente tout en se tenant régulièrement informé de l’heure.

Arrivé à 3h30, il prit doucement sa comparse dans les bras, et la porta à un lit décent. Puis, sans ménagement, il réveilla Arthur et Mathilde, le groupe suivant, afin qu’ils fassent le pied de grue jusqu'à cinq heures. Il s’écroula dans son lit, et partis d’un sommeil sans rêves.



Un peu de musique avec ca



Ha, et j'ai enfin une boite mail valide. Hésitez pas a y envoyer vos œuvres. Ca égayera

20/07/2008

אקולוגיה ידיד שלי

Encore un titre bien étrange pour un nouveau chapitre. Promis, demain, je repasse au Français ou a des langues plus compréhensibles pour finir cet acte un.


XI

La situation commençait à évoluer. Malheureusement pas dans le sens souhaité.
Suite aux appels, quatre autres personnes –Lucie, René, Eude et François- étaient venus se joindre au groupe restreint. Mais ce n’était pas de là que provenaient les problèmes. En effet, Olivier, comme à son habitude dés que le beau sexe était en nombre, faisait son intéressant, et n’avais rien trouvé de mieux que de contester l’autorité de Guillaume durant son absence, puis de critiquer les outils de défense ramenés par le groupe logistique. Passablement échauffé par l’état général de la situation, et en colère de voir que dans des cas comme celui là, les gents continuaient de chipoter sur des détails pour rien, il sortit avec Tanguy, Arthur et Eude afin de lever les « herses » qu’ils avaient empruntés a Jardiland. Ils taillèrent ainsi durant plusieurs heure des manches de pelle et les ajustèrent a une barrière en bois qui, bien qu’épaisse, ne servirait que de barrage temporaire en cas d’attaque.

Une fois qu’ils eurent finit de s’occuper de l’extérieur, et après un repas rapide, Guillaume s’empressa d’organiser une activité tir au cocktail Molotov. Grace a l’aide d’un panneau de bois et d’une brique, le verre étant trop rare pour le gâcher en entrainement, il pu perfectionner le geste de ses recrues durant quasiment tout l’après midi. Et puis, une activité réchauffait l’ambiance et les corps en cette journée d’hiver.
Les nouveaux furent répartis en binômes, et les plages horaires de nouveau tirés au sort. Cette fois ci, elles étaient d’une heure et demie entre 21h30 et 8h du matin. Il se proposa, après accord de sa collègue, pour reprendre la ronde entre 2h et 3h30.
Un diné encore plus sinistre que le repas du midi, miné par les tentions entre le chef et l’opposition naissante, fut rapidement expédié, et afin de ne pas attirer d’éventuels prédateurs du dehors, il ordonna une extinction des feux généralisée, à l’exception du groupe de veilleur.



Et un peu de musique pour changer


Découvrez Gerry Rafferty!

エコロジー私の友人

Ca rend bien le nom en japonais, vous trouvez pas? Moi en tout cas, j'aime beaucoup. Surtout l'espèce de machin arrondis. (je risque de me faire taper si quelqu'un parle le japonais)

Ce matin, on commence par un fanart sur le chapitre 8, toujours de Alab. Je l'avais reçu trop tard hier pour le poster en meme temps que la note. C'est chose faite


Désolé pour la taille, mais en plus grosse résolution, ca risque de couper les bords. Dommage.


Allez, embrayons sur le chapitre 10. The show must go on!

X

Le centre ville du bourg, d’habitude grouillant de petites vieilles aérant leurs roquets et d’ados mal dégrossis, était, en ce mercredi, désespérément vide. Les gents avaient visiblement fuis, ou alors s’étaient barricadés dans leurs maisons. Dans les deux cas, le spectre d’une pandémie de type inconnu était la cause de la désertification.
Garant la voiture à proximité de la piscine municipale, le petit groupe soudé autour de la hache portée par Guillaume (qui fermait et ouvrait alternativement la marche) se dirigea vers les bâtiments de la police municipale. Ils avaient en effet la ferme intention d’y trouver des armes et des munitions afin de palier à une éventuelle attaque.
Les locaux étaient abandonnés comme prévu. Le groupe chercha vainement le coffre fort où les fusils d’assaut et les Beretta 9mm étaient rangés, ne trouvant que quelques cartouches laissés éparse par un précédent rodeur, ainsi qu’un Flash Ball. Dépité, le groupe ressortis, et commença à faire marche arrière. Supposant que la récolte a la gendarmerie serait du même acabit, et qu’en plus vu la taille du bâtiment, ils y seraient plus en danger qu’autre chose, Guillaume proposa de faire route à la place vers le magasin Jardiland, où, c’était certain, ils trouveraient des haches, des nécessaires à jardinages coupant et contondant, et de quoi faire explosifs.

Toujours sans croiser âme qui vive, le groupe parvint au magasin. Celui-ci avait, comme prévu, été relativement épargné, et ils trouvèrent sans mal une dizaine de haches, de quoi faire une herse à peu près convenable, ainsi que des engrais contenant du perchlorate d’ammonium. Chargeant le tout dans et sur sa voiture, ils firent machine arrière, bien décidé à fortifier leur local aussi bien que possible.

19/07/2008

ecologia meu amigo

Un titre portugais (oui, j'ai que ca a foutre) pour un palpitant chapitre 9. Pas de fanart aujourd'hui, ni de longs discours

IX

Ce fut sans nouvel incident notable qu’arriva la relève de 3h30, puis le jour timide. Il avait dormis très difficilement suite à l’ « incident » de la veille, mais il chercha à tout prix à dissimuler son appréhension, conscient du fait que le simple fait que si lui lâchait pied, il entrainerait tous les autres dans sa chute.
Une de ces détestables bruines hivernales avait dissipé la brume naissante, mais le soleil ne semblait pas pressé de faire son apparition.
Il réunit le groupe dans le salon, comme la veille au soir, et leur expliqua le programme des réjouissances.

- Aujourd’hui, nous allons nous centrer sur deux points, et donc nous séparer en trois groupes. Il y aura deux groupes de trois, et un groupe de 4. On va se baser sur les binômes pour créer ces groupes, mais rappelez vous biens, chacun comprendra au moins un conducteur et un défenseur. Le groupe A s’occupera de la recherche de nourriture et des provisions, le B de la logique d’extractions, et le C, de quatre membres, gardera la « base ».

Un tirage au sort attribua à Guillaume la charge du groupe B, lui confiant son équipière de la veille et son amie Charlotte. Il sortit donc de la maison à leur tète, suivis de prêt par le groupe A commandé par son camarade Tanguy. Les deux voitures commencèrent par s’arrêter à la supérette environ 200 mètres plus loin. Là, tandis que le premier rentrais en coup de vent prendre un pack de bière et deux bouteilles de vodka, afin de faire des cocktails Molotov grâce a la station d’essence, Tanguy et Olivier s’occupaient de ramener un maximum de denrées non périssables, du sucre et de l’eau en bouteille, ainsi que deux bouteilles de gaz et un réveil a l’ancienne. Une fois ces détails réglés, la voiture A remonta vers la « base » tandis que l’autre s’enfonça vers le centre ville.

18/07/2008

Ecology my friend

Je commence cette note par une demande expresse

Si vous plus de talents pour le dessin qu'une huitre (et que moi), n'hésitez pas a faire des fanart. Je les publierais (dés que j'aurais une bonne boite mail ou les recevoirs)


VIII

Il marchait dans un paysage calme. Le bruit de la mer, ainsi que les Moais lui indiquait qu’il était sur une île. Alors que Clark Gable allais lui parler du sens de la vie, il sentit que son bras droit étais accroché par quelques choses.
Ce fut le visage de Tanguy, responsable du précédent quart, qui lui apparut en premier. Le message était clair : son tour de garde était venu. Réveillant sa coéquipière, ils descendirent prendre place dans les deux fauteuils dévolus au binôme de garde.

Le ré de chaussé avait été déserté, conformément à ses ordres, afin de ne pas craindre de menace directe venant des baies vitrées de la maison. Les volets roulant avaient par ailleurs tous été abaissé, créant une dérisoire protection supplémentaire.

La garde commença, lente, monotone et ennuyeuse. Peu de bruits provenaient de l’extérieur, par ailleurs étouffés par la lourde porte de bois de l’entrée et l’herbe quasiment présente partout autour des autres ouvertures potentielles. L’attente était longue, et passablement ennuyeuse. Il était hors de question de faire des activités plus ou moins sonores, et par respect pour les dormeurs, et a cause du poste de guetteur, ce qui fit monter une lente torpeur, torpeur accentuée par ailleurs par la chaleur des radiateurs, allumés en cette saison.
Sentant le sommeil monter en lui, Guillaume se leva pour aller prendre un café et remarqua alors que sa collègue s’en était allé dans les bras de Morphée. Il la souleva délicatement, la déposa sur le canapé du salon, et se dirigea vers la cuisine. La pendule du micro onde affirmait indécemment 2h38 tandis qu’il dissolvait son café sans autre bruit que le remous de la cuillère dans sa tasse. Ce fut alors qu’un bruit inconnu lui parvint du dehors.

Il se saisit de la hache, et réveilla sa coéquipière afin qu’elle garde la porte tandis que lui irais s’enquérir de ce qu’il se passait. A la lumière résiduelle de l’halogène du salon, il vit le visage de celle-ci se décomposer à ses paroles. Il la rassura cependant, alors même qu’il n’en menait pas large, et lui ordonna de s’équiper d’une torche et du pied de biche, plus adapté par son faible poids à son gabarit.
La nuit était à peine percée par la luminosité des réverbères, et une brume hivernale commençait à se lever, comme toujours à cause de la proximité de la Vilaine. Faisant vite fait le point aux alentours, mais ne se risquant pas seul trop loin tant par couardise que par raison, il conclut assez vite à un chat errant, malgré le doute et un profond malaise intérieur.



Et un fanart de l'ami Alab (bon, ok, j'ai un peu demandé si il pouvait égayer le blog, mais c'est son talent qui a tout fait, meme le choix du sujet) représentant le grand conseil de Mother Earth (je trouve que le chef a un faux air de Harry Potter)





Edit de 22h30: Bat vient de me montrer que c'était assez chiant de laisser un commentaire, ce que je déplore. Je vais chercher un webmestre capable de me trouver ou configurer un machin par défaut. Si vous voulez poster, cochez la case "

экология мой друг

Un petit chapitre ce matin. Sans doute mieux ce soir, mais rien de sur. Un petit lien tout de même vers la musique que j'écoute le plus souvent en écrivant mes pages.

Découvrez Laibach!


And now, the chapter seven

VII

Un repas, frugal vu le fait qu’il fallait quand même garder un minimum de réserves pour tenir, fut organisé. Alors que chacun terminait son dessert, Guillaume exposa le programme des réjouissances.

- Les gars, comme vous savez, les deux mamelles qui peuvent nous permettre de survivre si nous ne nous risquons pas dans des charges débiles sont la logistique et la défense. Cependant, on pourra difficilement tenir si l’un ou l’autre ne suivent pas.
Nous devons donc, dés demain, et aller chercher du ravitaillement avec une des voitures, ainsi que des armes, puis nous réfugier dans un lieu plus sécurisé ou sécurisable, avant de nous lancer a la recherche d’autres personnes épargnées.
Pour ce soir, un des éléments a déjà mettre en place est une garde. Nous sommes dix, et répartis plutôt également, donc une mixité s’impose plus ou moins selon moi.

Les binômes, et les plages horaires de la nuit dévolus à chacun furent tirés au sort. Adjugé avec Delphine, une amie de sa sœur plutôt bien sous tout rapport, il écopa de la plage centrale, soit de 1h30 à 3h30, la soirée ayant été répartie également en cinq quartiers de deux heures entre 21h30 et 7h30. La répartition des lits ne fut pas non plus bien difficile, et tandis que sa sœur Laure prenait avec Thomas le premier quart, il s’endormit comme une masse du sommeil du juste.

17/07/2008

Ökologie meine Freundin

Les traducteurs en ligne, ou comment varier les plaisirs pour des titres qui se ressemblent chaque jours...
Un petit lien vers ce qui me sert de traducteur en ligne pour ces magnifiques titres...

Et maintenant le chapitre 6, présenté par un espèce de poulet fait maison (moi je vais me coucher...)


VI

Telle une réunion d’Etat Major, il les avait rassemblés tout autour de la grande table de son salon. Là, avant toute chose, il fit les présentations.
- Comme vous le savez tous, mon nom est Guillaume. Je sais que plusieurs d’entre vous se connaissent déjà, mais je vais pourtant vous demander de vous présenter. Si la situation qui se profile est aussi merdique que ca en a l’air, autant connaitre le nom de la personne qui peut protéger vos arrières.
Chacun y alla donc de sa présentation, révélant son nom aux autres présents. Laure, Tanguy, Delphine, Arthur, Thomas, Olivier, Charlotte, Mathilde et Marine. Tous avaient l’air hagard, mais en même temps plus d’un semblait à la fois apeuré et en colère. Alors que le maitre de maison allait reprendre un monologue, comme il les aimait, Olivier rompis le silence.
- Je peux savoir pourquoi tu t’es autoproclamé chef ?

Assez peu surpris par cette intervention, Guillaume décida d’entamer son laïus par ce point
- Comme le fait remarquer avec autant de perspicacité Olivier, je me suis auto proclamé le chef de ce groupe. Avant que vous ne réclamiez ma tête, je tiens à préciser que je suis ici le copropriétaire de ce lieu, tant que mes parents sont considérés disparus, que par ce fait, je possède une grande quantité d’outils médicaux, sachant même manier tant bien que mal certains de ceux-ci, et qu’enfin, je pense être le seul dans cette assemblée a avoir un permis de port d’arme. Si quelqu’un d’autre n’est pas content de ce fait, qu’il aille se faire pendre ailleurs. Comme l’aurait dit Sarkozy : « ma baraque, tu l’aime ou tu la quitte »

Cette affirmation de souveraineté ne déclencha pas de remous notable. Il parla ensuite une bonne heure, laissant parfois des pauses dans son discours afin de laisser son public mettre à jours ses idées. Il exposa la situation, les points faibles « connus » des non morts, la tactique à employer pour se défendre, puis il arriva au point crucial de l’exposé.

-Vous savez tous ce qui est arrivé aux personnes en contact avec ce que l’on pourrait appeler des zombis. Pour ma part, si j’ai tenté ce rassemblement, ce n’est pas pour lutter militairement contre eux, du moins pas dans un premier temps, mais plutôt pour faire de la logistique de crise. Je vais donc conseiller à chacun de vous, si ce n’est pas déjà fait, d’appeler ses proches et de leur conseiller de se regrouper avec d’autres survivants dans un lieu aux murs épais. Précisez leurs aussi de se munir d’outils contondants, et d’emporter un maximum de nourriture non périssable.

Pendant que plusieurs se lançaient dans des appels larmoyant, ou effrayé, selon que l’interlocuteur décrochait ou non, il demanda a Tanguy, un de ses plus fidèles amis, de l’aider à palier aux premiers besoins, et allèrent chercher dans le cellier de l’eau en bouteille et des conserves, ainsi que le pied de biche, la pelle et la hache de jardinage a la cave.

Ecologia mia amica

Un titre en Italien. Pourquoi? Parce que je cherche a me renouveler. Ce matin, le chapitre 5, où notre héros découvre ses penchants zoophiles en écoutant du Jimi Hendrix.
Je plaisante. Mais un peu de musique détendra les mœurs avant de rejoindre un monde a l'agonie

Découvrez Jimi Hendrix!


V

Le chaos le plus total régnait dans Rennes : voitures retournées, foules hystériques courant et hurlant en masse dans une même direction, débuts d’incendies… Les pouvoirs publics apparaissaient à priori comme impuissant face à la menace nouvelle qui se présageait. Il arriva cependant sans encombre en vue de l’établissement qui hébergeait plusieurs de ses amis et sa sœur, qu’il avait réussi à joindre tout en conduisant. Il gara alors la Twingo, et, remontant a contre courant le flot de personnes paniqué, gagna le « point d’extraction » désigné par téléphone. Quatre personnes l’y attendaient, comme convenu. Sans dire autre chose qu’un « dépêchez vous », il les mena à la voiture, et démarra en trombe. Une fois installé, il leur adressa la parole.
- J’aurais aimé qu’on se fasse cette virée en voiture plutôt début juillet, pour les Terres Neuvas, mais visiblement le sort en a décidé autrement.

Il était dur de rompre le silence cependant devant l’horreur qui roulait au loin tel de lourds nuages noirs. Passant donc directement aux instructions, il somma les quatre autres de saisir leurs portables, et de joindre le plus de gents possible, afin de leur donner les instructions de survie, ou des points de retrouvaille pour préparer la suite. Pour l’instant, ils se dirigeaient tous vers chez lui où, les murs épais, les divers outils de jardinages et les quelques réserves pourraient leur permettre un léger siège.

Ils arrivèrent plus facilement que prévu, ayant été seulement légèrement gênés au passage de Beaulieu par deux véhicules blindés de l’armée de Terre qui descendaient à contre sens dans la direction du Thabor. Là, cinq silhouette les attendaient, désireuses de se mettre à l’abri. Il gara la voiture et se dépêcha d’ouvrir, afin d’exposer les premiers gestes dans ce type de situation, étant ironiquement le plus geek des dix.

16/07/2008

Encore et toujours le meme texte

Chapitre 4 aujourd'hui. Bonne lecture

IV

En provenance de Wellington, une des villes les plus orientales du Commonwealth, arriva une dépêche relatant la « renaissance » des personnes décédés dans les attentas de la veille ou du matin. Rapidement, le message, et les faits, se répandirent comme une trainée de poudre à travers le monde, épargnant seul quelques rares villes comme Adamstown ou Yaren, dont l’importance géopolitique n’était plus à prouver. L’armée fut rapidement déployée aux alentours des foyers d’infection, mais les informations, et surtout des personnes ayant été blessé physiquement par les non morts, avaient eu le temps de se répandre partout, créant un vent de panique généralisée

Il était, comme à l’accoutumé durant ses vacances étudiantes, en train de surfer sur le net, entre MSN, le hentai et les jeux en ligne, quand un de ses contacts lillois, Never comme il était surnommé dans le microcosme virtuel où ils s’étaient connu, lui demanda si sa famille et sa ville étaient épargnés par le cataclysme. Interloqué par la teneur de cette question, une conversation s’engagea rapidement, d’où l’homme ressortis abasourdis et surtout effrayé. Le temps d’éteindre son ordinateur et de s’habiller, il avait sauté dans sa voiture, portable vissé à l’oreille, pour tenter de joindre la majorité des personnes qui comptaient pour lui. En effet, le temps pressait, et si l’invasion de non morts se déroulait comme à l’accoutumé dans les Resident Evil, Romero et autres Chicou-Chicou, il fallait au plus vite réunir les survivants dans un endroit sur, aux murs épais, et où les rations ne risquaient pas de manquer rapidement.


15/07/2008

Chapitre N°3

Bon, un petit troisième chapitre ce soir (je case ce que j'ai en stock avant tout... il faudrait que je finisse le chapitre 18)

III

Le couperet venait de tomber. Des attentas venaient d’ensanglanter toutes les villes de plus de cent milles habitants tout autour de la planète en moins de 24h, toujours aux heures de pointes. Le schéma répété était identique : des hommes en costume sombre déposaient un attaché caisse dans un lieu public très fréquenté à ces heures, et celui-ci explosait blessant de divers éclats de métaux et, plus étrangement, de verre, les personnes autour. Mais là n’était pas le plus grave.
Les premières victimes touchées, de Vladivostok à Port Moresby, avaient été la plus part du temps transportés dans les hôpitaux de leurs villes respectives, afin de recevoir les premiers soins et de palier tout risques de tétanos ou de gangrène gazeuse par exemple. Nonobstant ces soins, toutes étaient mortes d’arrêt cardiaque progressifs dans les heures qui avaient suivit leurs admissions.

Inquiet pour ses proches, l’homme appela tout le répertoire de son cellulaire dans l’espoir que personne de ses connaissances ne serait touché. Fort heureusement, tous ceux-ci étaient indemne, les plus touchés ayant seulement assistés au vol plané d’un corps ou deux alors qu’ils passaient sur Sainte Anne ou devant le parlement. Ce fut alors que la nouvelle tomba.

14/07/2008

Ecologie N°2

Bon, je doit avouer que y a pas grand monde de présent ce soir (sans doute a cause du 14 juillet me direz vous)
A vrai dire, je suis pas super concerné par ça: mon bled a fait un feu d'artifice y a deux semaines, et les bus de Rennes circulaient pas suffisamment tard pour que je trouve ca assez intéressant (une heure a patte pour revenir)
Donc voilà. Une nouvelle note pour égayer la soirée

II

Les gros titres du lendemain ne parlaient que d’une chose : l’ultimatum. Mother Earth avait en effet lancé un ultimatum aux 192 nations policées du globe ayant partie prenante à l’assemblé générale de l’organisation. Des menaces d’attaques de lieu publiques par des bombes sales avaient été ainsi envoyées aux divers journaux à très fort tirages du globe : si sous 48h, les états n’avaient pas fait de déclarations solennelles dans le sens de la Mother Earth, les menaces cesseraient d’en être pour devenir des faits.
Inconscient de l’épée de Damoclès surplombant sa tète, l’homme continua de vaquer a ses occupations durant deux jours. Il se sentait en totale sécurité dans son patelin de 20000 âmes, non loin de Rennes, ville qui pour lui revêtaient peu d’importance stratégique.

A l’échelon national et international, cependant, la situation avais tendance à s’envenimer. Là ou seul de grandes démocraties comme l’Iran et la Chine avaient bannis les représentant de Mother Earth quelques temps avant, de puissantes nations, au coté de la France, signaient dés à présent l’acte de mort de celle-ci, sans se douter qu’elles risquaient de se plonger dans le Chaos.

Ecologie mon amie

Je ne vais pas y aller par quatre chemins: ce blog a été créé avant tout pour faire éclater mon "talent" au grand jour. Car je suis un grand écrivain... non, je déconne.

Je vais tout de même poster, comme prévu, mes productions. Je n'attend pas de vous que vous vous répandiez en commentaires élogieux (même si ça a permis a Bat que je lui fasse sa pub), mais plutôt des truc constructif (pas de demande en mariage mesdemoiselles)

Je mettrais un chapitre par message, afin de rendre l'histoire plus claire



Ecologie mon amie: Acte un

I

La lune brillait en cette nuit de Décembre, comme on pouvait s’y attendre d’un soir de pleine lune à quatre heures du matin. Deux silhouettes masculines titubantes remontaient tant bien que mal la rue Saint Michel, visiblement enivrées par les opulentes fêtes animant le Delicatessen depuis la fin de l’année universitaire. Après une courte accolade, l’une d’elle s’enfonça dans la nuit tandis que la seconde retrouvait la chaleur de son foyer place Hoche. La survivante pressa le pas, pour ne pas trop longtemps subir la morsure de l’hiver qui le faisait frissonner dans sa tenue actuelle.
« Une bonne chose de faite » songea-t-il en atteignant enfin son logis une heure plus tard. Sans un mot, il monta se coucher, non sans avoir rapidement été faire un tour sur internet. Là, tous les esprits étaient occupés par les menaces d’une bande d’énergumènes soucieux de la santé de « Gaïa »

« Mother Earth somme l’ONU d’obliger ses Etats membres à ratifier son « pacte de retour a la nature, leurs prophétisant divers fléaux », titrait Le Monde. Déjà, divers états avaient déclarés cette organisation comme illégale, potentiellement terroriste, et avaient dissous les principales loges de celle ci.

Harassé par l’alcool, abrutis par l’heure et les informations qui défilaient devant ses yeux, l’homme éteignit son ordinateur et plongea immédiatement dans les bras de Morphée.

13/07/2008

Que dire a par... Bonjours?

Enfin un vrai blog! Enfin un beau blog ou poster tout ce que je fait de beau et de moins beau! Enfin! (pour ceux qui ne comprennent pas cette explosion de joie, je change de blog depuis un skyblog...)
Que dire dans ce premier post? Merci aux grands qui m'ont fait découvrir le bien d'un blog (Gally, boulet, kek, paka...) à ceux qui m'ont fait chier en me disant que sky était le mal (fred se reconnaitra...), à mes "lecteurs" qui me demande plus de boulot pour les satisfaire?

En bref, je ne sais pas quoi dire ici...

Allez: je déclare ce blog ouvert!