25/04/2009

De la vacuité d'un titre conçu dans l'unique but de remplir

A peu de chose pret, en sommes.

Nan mais si vous vouliez une note intelligente, fallait pas venir voir cette mise à jour. Z'avez pas l'droit de vous plaindre si vous m'avez lu jusque ici.
Ouais, ça fait 2 lignes en plus, vous pourrez pas dire que j'vous ai pas prevenu avant l'hors d'oeuvre.

Donc, pour les ignorants qu'ont rien compris tellement ils sont ignorant tellement ils ont pas suivi tellement ils sont mes lecteurs, c'est pas Enrico qui vous parle.

C'est pas le même, mais en mieux non plus. C'est un autre larron, qui a la demande express s'es engagé à poster ici même. Ce larron, c'est bibi, et tant pis si ça vous defrise. Bibi, c'est Stuteba, un illustre inconnu qui compte bien le rester.

Pourquoi moi ? Allez savoir, peut etre est ce du à mon magnetisme legendaire. Ou p'tre qu'il vous paraitra moins chiant apres m'avoir lu. L'contraste, tout ça. Il pourra vous parler chinois avec une graphie de swalilie oriental qu'il vous parraitra plus sympathique et interressant.


Enfin, esperons.

Oh, le but de la note ? Aucun. Enfin, p'tre un.... C'est une note particuliere, il parait.


La note n°100. Et ce post vous as été donné par "la ligue des agressifs qui ont marre des notes du type '100 bonnes raisons de continuer ce blog' et des militants anti -autocongratulation".

Bonne journée, etc.

22/04/2009

Well well well
























Bon, de retour de Vacances a Metz.
Belle ville, j'ai bien aimé, mais bon.
Un voyage classique dirons nous

-Lundi: 8h de trajet Rennes-> Metz via la Beauce.
Découverte des ronds points portnawak de la Beauce, au milieu de nulle part: entre un champs, un champs et un clocher se dresse un tas de caillasses (pas d'autres mots). Utilité? Aucune je dirais.
Si j'ai des lecteurs de la bas, pardon, mais j'ai trouvé ce soin déprimant. Toute la route est a 90, et le moindre virage meme léger est a 70, bref, mortel...

-Mardi: Passage sur les lieux de notre enfance, dans le parc d'attraction du coin. Il a plutot bien vieilli, mais moi moins...
Pas grand choses de notables ce jours là

-Mercredi: Départ aux aurores de Metz pour aller a Europa-Park. De 10h a 20h a Europa, sous un temps sympa. Des files d'attentes de 1h a certaines attractions, moins sympa.
Retour par Strasbourg, diner dans un Quick. La bouffe était pas des meilleures, mais le service client était excellent

-Jeudi: journée "calme". Matiné aux termes d'Amnéville, largement moins bien que d'autres trucs faits en Suisse par le passé (pas de Sauna nudiste! T_T). Après midi "libre" dans Metz. Séance écriture de cartes postales le soir, postées a coté du Flunch

-Vendredi: Malade comme un chien, et un pass de deux jours a Europa a utiliser. Galère donc.
Que rajouter sur cette journée? Je ne saurais dire, j'ai comaté plusieurs fois pendant la journée, donc...

-Samedi: Retour sur Rennes, 8h de route. passage par Paris même ce coup là, énormément plus rapide que par la Beauce


Bref bref bref...
Allez, andiamo vers les partielles

12/04/2009

Redifusion: Critique littéraire

Bon, encore une critique que j'avais fais sur un Forum.
Je posterais sans doute des notes un peu mieux après mes vacances, mais là, c'est rush de chez rush ces derniers temps. Mes plus sincères excuses
P.S: Je laisse les clés du blog a Bat qui devrait passer arroser en cours de semaine prochaine


La mort en été Yukio Mishima


-> Pourquoi ce livre?

Ce livre a été sur ma table de chevet durant les deux derniers mois, et j'avais avant particulièrement envie de lire du Mishima. Sa mort, et le fait que Nothomb en ait parlé dans un de ses derniers romans "ni d'eve ni d'adam" m'a poussé a sauter le pas.
Concernant le livre en question, c'était parce que ma mère l'avait dans sa bibliothèque, et pas autrement.

-> Qui est l'auteur?

Yukio Mishima, pseudonyme de Kimitake Hiraoka, était un écrivain japonais à cheval sur les deux moitiés du 20 eme siècle. Pour les détails de sa vie, je vous invite a zieuter Wiki. Son style est assez occidental tout en gardant certaines tournures de phrase a mon avis propre au japonais.
A retenir de lui: il était pour un japon grand et fort, du style Yamato, et alla jusqu'à tenter un "coup d'état" avant de se faire sepuku avec son compagnon. Donc un peu un "auteur maudit"

-> Un petit résumé? Quelques lignes attrayantes?

Ca risque d'etre dur. Comme indiqué au début, c'est un recueil de dix nouvelles, qui n'ont pas de réel fil conducteur. Et résumer des nouvelles allant de 10 à 50 pages, y a mieux pour donner envie de lire. Non?

-> Qu'a tu aimé dans ce livre?

J'ai beaucoup aimé le style et certaines histoires. On sent parfois une portée, peut etre pas imaginée au moment de l'écriture, assez importante et intéressante. Mais on peut dire que les nouvelles sont inégales, ou du moins que les sujets qu'elles traitent ne sont pas aussi attrayant pour un européen qu'elles pourraient l'etre pour un japonais

-> C'était ta première expérience de lecture pour un livre du style?

Non. Je suis un gros lecteur, donc j'avais déjà pu lire quelques auteurs japonais. Par exemple "la pierre et le sabre", d'Eiji Yoshikawa, hagiographie du bretteur Miyamoto Musashi.
Mais Mishima est plus réaliste, plus ancré. Un petit coté zola dans sa manière de raconter des trucs ou il ne se passe rien

-> Des critiques?

Oui, au point par point, nouvelle par nouvelle

-La mort en été: la nouvelle qui donne son titre au livre parle de la mort de deux enfants, et du deuil de leur parents. Atmosphère intimiste et rythme lent dans cette nouvelle. A réserver a ceux qui aiment déjà ce genre de style

-Trois million de yens: une histoire courte, qui se lit bien et vite. J'ai assez accroché, car on peut la transposer un peu partout, a notre époque et sous nos cieux par exemple.

-Bouteille Thermos: sans doute celle que je prendrais le plus avec des pincettes. Perso, j'ai trouvé cette nouvelle bizarre et pas utile, mais c'est au gout de chacun (je serais ravis d'avoir une autre critique de lecteur là dessus)

-Le prètre du temple de Shiga et son Amour: une très belle histoire, dans le japon d'antan. A mes yeux une des plus accessibles du recueil. Un double niveau de lecture peut etre vu dedans. Je l'ai personnellement beaucoup appréciée

-Les sept ponts: retour au Japon moderne. Pareil, celle ci est assez facile d'accès, et possède une pointe d'ironie pas désagréable

-Patriotisme: ou l'histoire d'un double suicide. A lire si vous aimez la description d'un couteau tranchant les tripes et tout ce qui va avec. A mettre en relation avec la fin de vie de l'auteur Wink

-Dojoji: une scène de théatre. Comme "trois Milion de Yen", on peut facilement s'imaginer la transposer ailleurs, ce qui la rend accessible pour nous. Théatre qui plus est bien écrit, donc ca se lit sans problème

-Onagata: celle ci, je donne le ton. C'est une romance homosexuelle, une sorte d'amour impossible. La dernière que j'ai lu, mais un de ceux que j'ai préféré, pour la dimension psychologique et la profondeur. Mais tout le monde n'aimera pas

-La perle: Desperate Housewiwes a Tokyo. Cette histoire courte (20 pages) est pour vous mesdames Wink

-Les langes: dernière nouvelle du livre, c'est a mon gout une des plus étranges, voir dérangeantes, avec "Bouteille Thermos". Heureusement, elle est très courte (une dizaine de pages), donc ceux qui ne sont pas fans du genre ne devront pas la supporter très longtemps.




11/04/2009

Houla...

Bon... Que dire...
Et oui, c'est parfois dur d'etre motivé pour faire une note quand on a rien a raconter, ou de la merde, ou uniquement des échecs...
Ma vie est, en ce jour, toujours aussi passionnante.
Je suis célibataire, j'ai encore foiré mon permis, et je suis en partielles incessament sous peu. Bref, le bonheur a l'état brut

Bon, quand meme, histoire de faire une note demain, je diffuserais une critique de bouquin faite pour un ami.

Affaire a suivre. Après la 100 éme, je mettrais ptet le blog en pause, histoire de réfléchir a ma motivation